samedi 21 mars 2020

QUAND ON N'A RIEN A DIRE, IL FAUT LE DIRE

Il y a une semaine, on pouvait quasiment vivre normalement, se rencontrer, décider de nos emplois du temps et de nos activités. L'escalade était sans doute nécessaire vers la phase 2 puis la phase 3 mais elle a été brutale, avec le confinement imposé mardi dernier à midi. 

Situation inédite qu'il faut meubler, en faisant chez nous des choses que l'on ne prenait pas forcément le temps de faire : rangement, tri, décoration, jardinage (pour ceux qui ont un jardin, le soleil réapparaît de temps en temps), relecture de livres anciens, réécoute de disques anciens. On peut regarder en replay sans se lasser "Les feux de l'amour", "Plus belle le vie" ou "Amour, gloire et beauté". Je n'ose évoquer comme occupation l'inventaire permanent du stock de pâtes, riz et papier toilette constitué aux premiers jours de la crise ...

Alors soyons patients, respectons les règles du jeu et ne prenons pas de risques inutiles. Gardons le moral et restons attentifs les uns aux autres, c'est dans l'ADN de notre amicale, le téléphone et internet fonctionnent toujours. Attendons et imaginons le moment où nous pourrons nous retrouver pour la pétanque, les cartes, la rando, la marche, le bowling, le scrabble, le chant, la gymnastique, le tennis de table, l'atelier mémoire, la vidéo, les sorties, les concerts, les opérettes, les voyages ... Chaque jour qui passe nous en rapproche forcément !

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