mardi 29 décembre 2020

Carnet familial : Alain DE BOYSERE

C'est avec regret que nous apprenons le décès de notre ami Alain DE BOYSERE  à l'âge de 88 ans. Ses funérailles auront lieu samedi prochain 2 janvier à 11 heures à Notre Dame de Lourdes à Roubaix (parc Barbieux). 
Toute notre sympathie va bien sûr à son épouse Yvette.



À TABLE ! Le repas dans notre Histoire de l'Art + Bonus Recette

lundi 28 décembre 2020

Chronique de Charles : Réveillon du Nouvel An.

Au gui l'an neuf ! Pour les embrassades, c'est râpé, il va falloir que tu t'y fasses. Entre les conseils appuyés d'éviter les fricassées de museaux, et le couvre-feu rabat-joie, il n'y pas vraiment de place pour la fête débridée, les feux d'artifices officiels ou clandestins, et les concours de bagnoles brûlées entre banlieues festives. 
Je ne suis pas grand clerc, il y a quand même quelques petites notions que la vie (et les études) m'ont apprises, et pour lesquelles je n'ai pas trop d'incertitudes : j'ai profité dans mon jeune temps de quelques initiations dans des disciplines qui se sont aujourd'hui tellement spécialisées que j'ai l'impression d'avoir été superficiel, un peu « touche à tout », et que je n'ose plus dire que j'ai été formé en toute modestie et même sommairement, à la bactériologie, la virologie, l'infectiologie, l'épidémiologie, la santé publique, l'économie de la santé, j'en passe et des meilleures. Le peu que j'en ai retenu, en ces temps déjà anciens, où l'on était peut-être un peu plus simpliste qu'à l'heure actuelle, mais pas moins efficace pour autant, c'est qu'une contamination aérogène en population générale, tu pouvais faire ce que tu voulais, c'était impossible à endiguer (mais non, ne confonds pas, pas érogène, aérogène ! Érogène, c'est quand tu t'excites, aérogène, ici, c'est seulement quand tu respires). C'était une fatalité, inéluctable, il fallait apprendre à vivre avec. Une dissémination par aérosol, c'est imparable dans notre société,

lundi 21 décembre 2020

Chronique de Charles : Vaccination de masse en individuel.

Les masques, il n'y en avait pas. Les prix ont flambé. Normal, c'est la loi de l'offre et de la demande. Ce qui est rare est cher (ça me rappelle un sketch, mais on n'est pas là pour rigoler, quoique...), il y a bien eu quelques profiteurs, l'escalade des prix n'a pas duré, on en a fabriqué, des bons, des moins bons, des lavables, des recyclables, il y en a eu des bizarres, des fantaisistes, on a fini par remettre en route des filières d'importation, par en retrouver qui attendaient l'incinération, bref, on a fait flèche de tout bois, maintenant, des masques, on en a à profusion, pour des prix honnêtes (quand on réfléchit bien, on ne sait pas bien définir ce qu'est un prix honnête, remarque, c'est la même chose pour le salaire : on a du mal à définir un salaire honnête, par contre on différencie très bien un travail honnête d'un autre qui ne le serait pas, je te laisse méditer là dessus, fin du quart d'heure philosophique), on ne les supporte plus, ou plus précisément, on ne supporte plus de les porter (ils nous sortent par les trous de nez, ce qui, tu m'avoueras, est le comble pour des masques de bonne qualité normalement constitués). 
Les masques, il n'y en avait pas, ou pas assez, ou alors on ne savait plus où on les avait mis, ou s'ils étaient périmés. L'épisode de pénurie est passé, rien de moins qu'une commission sénatoriale se penche encore sur cet épisode de la pandémie, c'est du sérieux, avec le responsable de l'époque, ils sont en train de jouer une partie de poker menteur,

lundi 14 décembre 2020

Chronique de Charles : Vague à l'âme.

D'habitude, mon Président parle à tout le monde (à ses Chers Compatriotes, ou à ses concitoyens, Françaises Français ça date un peu, c'est désormais passé de mode, c'est fou comme le temps passe), quelquefois avec un peu de Marseillaise, histoire de faire solennel, c'est bien de donner l'impression de rester simple, mais il faut quand même marquer son rang, sinon il y a des gens sans savoir-vivre qui risquent de lui taper sur l'épaule, ou, pire, sur le ventre, comme le feraient des comparses de virée, des compagnons de beuverie. Déjà qu'il y en a pour oser solliciter des selfies, comme pour des vedettes de la chanson ou des footballeurs, maintenir une certaine distance ne peut pas nuire, à condition d'éviter le côté olympien préjudiciable (mais non, ne confonds pas tout, pas olympique, olympique c'est pour les sportifs, une fois tous les quatre ans, olympien, comment te dire, c'est jupitérien, mais en plus nuancé, plus soft, dans jupitérien il y a de la critique acerbe, peut-être de la jalousie, dans olympien il y a de l'aménité, de la bienveillance en quelque sorte). 
Cette fois-ci, il communique avec les jeunes, sur des chaînes que je ne connais pas,

lundi 7 décembre 2020

Carnet familial : Jacques LEROY

C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de notre ami, Jacques LEROY survenu le 5 décembre à l'âge de 89 ans.

Ces funérailles auront lieu le vendredi 11 décembre à 11h en l'Église St Nicolas à Wasquehal.

Nous présentons toutes nos condoléances à sa famille.

Chronique de Charles : Prophète à la ramasse.

A la pétanque, j'ai des boules réglementaires, comme un vrai professionnel, en toute modestie, je ne suis pas pire qu'un autre, même si j'ai encore beaucoup de progrès à faire, pour le ping-pong, je suis plutôt médiocre, j'ai pourtant une raquette de qualité, mais ça ne suffit apparemment pas. A la belote, les bons joueurs m'évitent, je fais trop d'erreurs, au PMU, j'ai essayé une fois de parier sur le tiercé, « mon » cheval a pris l'élastique dans les naseaux au départ (maintenant ils ne partent plus comme ça). Avec de tels niveaux d'incompétence, je ne me faisais pas beaucoup d'illusions, faire prophète, même en trichant (eh oui, il y en a qui trichent, il y a aussi des faux prophètes), ça demande quand même des dons au dessus de mes moyens, et un minimum de flair, d'intuition, la fée qui s'est penchée sur mon berceau (et mon avenir) a dû se prendre les pieds dans le tapis, en tout cas, je me suis rendu compte que si je voulais gagner ma croûte comme prophète, je risquais de mourir de faim : Mes prédictions se sont avérées pratiquement nulles, la preuve,

mardi 1 décembre 2020

1978 : Dans les boulangeries historiques de Paris | Archive INA

Les boulangeries à décors | TF1 | 29/03/1978 
Les témoignages de la vie quotidienne des Parisiens du XIXème et du début du XXème siècle existent encore... Ce documentaire retrace le passé architectural et urbanistique de la capitale qui connaît alors en 1978 une période de transformation. Les boulangeries à décors se sont multipliées tout au long du 19ème siècle. La peinture décorative et l'ornementation apportaient un attrait incontestable aux commerces d'alimentation, certains commerçants tout comme leurs clients y demeurent attachés, malheureusement un grand nombre d'entre elles sont dégradées et leur raréfaction ajoute encore à leur valeur. 
Images d'archive INA

Sylvie Joly "La coiffeuse" | Archive INA