Direction : Alexandre Bloch
À l’apogée de sa carrière, Tchaïkovski livre un chef-d’œuvre rayonnant d’optimisme. Correspondant à un moment d’apaisement voire de joie dans la vie tourmentée de ce compositeur, la Sérénade pour cordes Op. 48 jouit d’un élan communicatif d’insouciance et de volupté. Une partition d’un raffinement extrême qui comporte, comme dans les grands ballets du maître russe, une irrésistible valse.
Premier jalon de l’épopée symphonique beethovénienne, la Symphonie n°1, composée dans la tonalité légère et lumineuse de do majeur apporte un souffle nouveau et révolutionnaire. Encore très influencé par le modèle classique de son maître Joseph Haydn, le jeune Beethoven s’en détache pourtant en osant des tournures audacieuses qui deviendront sa véritable signature. On y perçoit déjà l’essence-même de toute son œuvre : la liberté.
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