Amicale des Retraités Indépendants et Cadres - Des AMIS et DE NOMBREUSES ACTIVITÉS
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mardi 29 décembre 2020
Carnet familial : Alain DE BOYSERE
lundi 28 décembre 2020
Chronique de Charles : Réveillon du Nouvel An.
 Au gui l'an neuf ! Pour les embrassades, c'est râpé, il va falloir que tu t'y
fasses. Entre les conseils appuyés d'éviter les fricassées de museaux, et le
couvre-feu rabat-joie, il n'y pas vraiment de place pour la fête débridée, les
feux d'artifices officiels ou clandestins, et les concours de bagnoles brûlées
entre banlieues festives.
Au gui l'an neuf ! Pour les embrassades, c'est râpé, il va falloir que tu t'y
fasses. Entre les conseils appuyés d'éviter les fricassées de museaux, et le
couvre-feu rabat-joie, il n'y pas vraiment de place pour la fête débridée, les
feux d'artifices officiels ou clandestins, et les concours de bagnoles brûlées
entre banlieues festives. dimanche 27 décembre 2020
samedi 26 décembre 2020
jeudi 24 décembre 2020
mercredi 23 décembre 2020
mardi 22 décembre 2020
lundi 21 décembre 2020
Chronique de Charles : Vaccination de masse en individuel.
 Les masques, il n'y en avait pas. Les prix ont flambé. Normal, c'est la loi
de l'offre et de la demande. Ce qui est rare est cher (ça me rappelle un
sketch, mais on n'est pas là pour rigoler, quoique...), il y a bien eu quelques
profiteurs, l'escalade des prix n'a pas duré, on en a fabriqué, des bons, des
moins bons, des lavables, des recyclables, il y en a eu des bizarres, des
fantaisistes, on a fini par remettre en route des filières d'importation, par en
retrouver qui attendaient l'incinération, bref, on a fait flèche de tout bois,
maintenant, des masques, on en a à profusion, pour des prix honnêtes
(quand on réfléchit bien, on ne sait pas bien définir ce qu'est un prix honnête,
remarque, c'est la même chose pour le salaire : on a du mal à définir un
salaire honnête, par contre on différencie très bien un travail honnête d'un
autre qui ne le serait pas, je te laisse méditer là dessus, fin du quart d'heure
philosophique), on ne les supporte plus, ou plus précisément, on ne supporte
plus de les porter (ils nous sortent par les trous de nez, ce qui, tu m'avoueras,
est le comble pour des masques de bonne qualité normalement constitués).
Les masques, il n'y en avait pas. Les prix ont flambé. Normal, c'est la loi
de l'offre et de la demande. Ce qui est rare est cher (ça me rappelle un
sketch, mais on n'est pas là pour rigoler, quoique...), il y a bien eu quelques
profiteurs, l'escalade des prix n'a pas duré, on en a fabriqué, des bons, des
moins bons, des lavables, des recyclables, il y en a eu des bizarres, des
fantaisistes, on a fini par remettre en route des filières d'importation, par en
retrouver qui attendaient l'incinération, bref, on a fait flèche de tout bois,
maintenant, des masques, on en a à profusion, pour des prix honnêtes
(quand on réfléchit bien, on ne sait pas bien définir ce qu'est un prix honnête,
remarque, c'est la même chose pour le salaire : on a du mal à définir un
salaire honnête, par contre on différencie très bien un travail honnête d'un
autre qui ne le serait pas, je te laisse méditer là dessus, fin du quart d'heure
philosophique), on ne les supporte plus, ou plus précisément, on ne supporte
plus de les porter (ils nous sortent par les trous de nez, ce qui, tu m'avoueras,
est le comble pour des masques de bonne qualité normalement constitués). dimanche 20 décembre 2020
jeudi 17 décembre 2020
mercredi 16 décembre 2020
lundi 14 décembre 2020
Chronique de Charles : Vague à l'âme.
 D'habitude, mon Président parle à tout le monde (à ses Chers
Compatriotes, ou à ses concitoyens, Françaises Français ça date un peu,
c'est désormais passé de mode, c'est fou comme le temps passe),
quelquefois avec un peu de Marseillaise, histoire de faire solennel, c'est bien
de donner l'impression de rester simple, mais il faut quand même marquer
son rang, sinon il y a des gens sans savoir-vivre qui risquent de lui taper sur
l'épaule, ou, pire, sur le ventre, comme le feraient des comparses de virée,
des compagnons de beuverie. Déjà qu'il y en a pour oser solliciter des
selfies, comme pour des vedettes de la chanson ou des footballeurs,
maintenir une certaine distance ne peut pas nuire, à condition d'éviter le côté
olympien préjudiciable (mais non, ne confonds pas tout, pas olympique,
olympique c'est pour les sportifs, une fois tous les quatre ans, olympien,
comment te dire, c'est jupitérien, mais en plus nuancé, plus soft, dans
jupitérien il y a de la critique acerbe, peut-être de la jalousie, dans olympien il
y a de l'aménité, de la bienveillance en quelque sorte).
D'habitude, mon Président parle à tout le monde (à ses Chers
Compatriotes, ou à ses concitoyens, Françaises Français ça date un peu,
c'est désormais passé de mode, c'est fou comme le temps passe),
quelquefois avec un peu de Marseillaise, histoire de faire solennel, c'est bien
de donner l'impression de rester simple, mais il faut quand même marquer
son rang, sinon il y a des gens sans savoir-vivre qui risquent de lui taper sur
l'épaule, ou, pire, sur le ventre, comme le feraient des comparses de virée,
des compagnons de beuverie. Déjà qu'il y en a pour oser solliciter des
selfies, comme pour des vedettes de la chanson ou des footballeurs,
maintenir une certaine distance ne peut pas nuire, à condition d'éviter le côté
olympien préjudiciable (mais non, ne confonds pas tout, pas olympique,
olympique c'est pour les sportifs, une fois tous les quatre ans, olympien,
comment te dire, c'est jupitérien, mais en plus nuancé, plus soft, dans
jupitérien il y a de la critique acerbe, peut-être de la jalousie, dans olympien il
y a de l'aménité, de la bienveillance en quelque sorte). dimanche 13 décembre 2020
samedi 12 décembre 2020
mercredi 9 décembre 2020
mardi 8 décembre 2020
lundi 7 décembre 2020
Carnet familial : Jacques LEROY
C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de notre ami, Jacques LEROY survenu le 5 décembre à l'âge de 89 ans.
Chronique de Charles : Prophète à la ramasse.
 A la pétanque, j'ai des boules réglementaires, comme un vrai
professionnel, en toute modestie, je ne suis pas pire qu'un autre, même si j'ai
encore beaucoup de progrès à faire, pour le ping-pong, je suis plutôt médiocre,
j'ai pourtant une raquette de qualité, mais ça ne suffit apparemment pas. A la
belote, les bons joueurs m'évitent, je fais trop d'erreurs, au PMU, j'ai essayé une
fois de parier sur le tiercé, « mon » cheval a pris l'élastique dans les naseaux au
départ (maintenant ils ne partent plus comme ça). Avec de tels niveaux
d'incompétence, je ne me faisais pas beaucoup d'illusions, faire prophète,
même en trichant (eh oui, il y en a qui trichent, il y a aussi des faux prophètes),
ça demande quand même des dons au dessus de mes moyens, et un minimum
de flair, d'intuition, la fée qui s'est penchée sur mon berceau (et mon avenir) a
dû se prendre les pieds dans le tapis, en tout cas, je me suis rendu compte que
si je voulais gagner ma croûte comme prophète, je risquais de mourir de faim :
Mes prédictions se sont avérées pratiquement nulles, la preuve,
A la pétanque, j'ai des boules réglementaires, comme un vrai
professionnel, en toute modestie, je ne suis pas pire qu'un autre, même si j'ai
encore beaucoup de progrès à faire, pour le ping-pong, je suis plutôt médiocre,
j'ai pourtant une raquette de qualité, mais ça ne suffit apparemment pas. A la
belote, les bons joueurs m'évitent, je fais trop d'erreurs, au PMU, j'ai essayé une
fois de parier sur le tiercé, « mon » cheval a pris l'élastique dans les naseaux au
départ (maintenant ils ne partent plus comme ça). Avec de tels niveaux
d'incompétence, je ne me faisais pas beaucoup d'illusions, faire prophète,
même en trichant (eh oui, il y en a qui trichent, il y a aussi des faux prophètes),
ça demande quand même des dons au dessus de mes moyens, et un minimum
de flair, d'intuition, la fée qui s'est penchée sur mon berceau (et mon avenir) a
dû se prendre les pieds dans le tapis, en tout cas, je me suis rendu compte que
si je voulais gagner ma croûte comme prophète, je risquais de mourir de faim :
Mes prédictions se sont avérées pratiquement nulles, la preuve,
dimanche 6 décembre 2020
samedi 5 décembre 2020
vendredi 4 décembre 2020
jeudi 3 décembre 2020
mardi 1 décembre 2020
1978 : Dans les boulangeries historiques de Paris | Archive INA
lundi 30 novembre 2020
Chronique de Charles : Oh la vache ! (elle s'appelait Fleurette)
 Le cow-pox (en français la vaccine) est une maladie de la vache
(comme son nom l'indique : en latin vacca la vache), assez rare d'ailleurs, qui
touche aussi le cheval (pour le cheval, ce n'est pas tout à fait le même virus,
c'est seulement un cousin). On les appelait l'un et l'autre (les deux cousins)
virus filtrants, on ne les voyait pas au microscope optique, on savait qu'ils
existaient, ils passaient au travers de filtres de céramique, pas comme les
bactéries bien plus grosses, arrêtées par ces mêmes filtres censés purifier
l'eau. Le fait était déjà connu que les ouvriers agricoles atteints par contage
de ce cow-pox ne contractaient jamais la variole, maladie grave, souvent
mortelle. C'est le mérite d'Edward Jenner d'avoir subodoré ce que l'on
connaît depuis sous le nom d'immunité croisée, et expérimentalement inoculé
le virus de la vaccine (qu'on ne voyait toujours pas, le microscope
électronique n'apparaît que dans les années 1930), et vérifié que le sujet
ainsi « vacciné » était protégé de la variole.
Le cow-pox (en français la vaccine) est une maladie de la vache
(comme son nom l'indique : en latin vacca la vache), assez rare d'ailleurs, qui
touche aussi le cheval (pour le cheval, ce n'est pas tout à fait le même virus,
c'est seulement un cousin). On les appelait l'un et l'autre (les deux cousins)
virus filtrants, on ne les voyait pas au microscope optique, on savait qu'ils
existaient, ils passaient au travers de filtres de céramique, pas comme les
bactéries bien plus grosses, arrêtées par ces mêmes filtres censés purifier
l'eau. Le fait était déjà connu que les ouvriers agricoles atteints par contage
de ce cow-pox ne contractaient jamais la variole, maladie grave, souvent
mortelle. C'est le mérite d'Edward Jenner d'avoir subodoré ce que l'on
connaît depuis sous le nom d'immunité croisée, et expérimentalement inoculé
le virus de la vaccine (qu'on ne voyait toujours pas, le microscope
électronique n'apparaît que dans les années 1930), et vérifié que le sujet
ainsi « vacciné » était protégé de la variole. dimanche 29 novembre 2020
samedi 28 novembre 2020
vendredi 27 novembre 2020
Le mot du Président
Bonjour à tous et à toutes.
- par SMS au 06.80.31.04.33
- ou par mail au secrétariat secretariat.aric@gmail.com
- ou par appel téléphonique au 03.20.53.43.88
- ou en envoyant un petit mot par courrier au siège de notre association 22 Allée du Verger 59510 HEM.
jeudi 26 novembre 2020
mercredi 25 novembre 2020
mardi 24 novembre 2020
lundi 23 novembre 2020
Chronique de Charles : Plus que 12 au jus, et la quille !
 Le Président va parler. La semaine prochaine. Mardi aux dernières
nouvelles. Pas besoin de préparer son texte. Il n'a qu'à lire la presse et suivre
un peu les chaînes d'information en continu pour apprendre ce qu'il va dire,
avant même qu'il l'ait pensé. Ça, c'est de l'info avant-gardiste, nous
renseigner non pas sur ce qui s'est passé, c'est trop classique, un peu
ringard même si on veut être dans le coup, mais sur ce qui va se passer.
C'est le summum du « up to date », l'apogée de carrière pour un journaliste,
annoncer ce qui va se produire avant que ça ne se produise, avoir une
longueur d'avance sur les concurrents ; être le premier sur un « scoop » c'est
bien, précéder l'événement c'est encore mieux, c'est un must, bien sûr il ne
faut pas trop se louper, il passerait vite pour un pas sérieux, encore que, dans
notre époque un peu troublée, entre canulars et fausses rumeurs
(maintenant, si tu veux être à la mode, (« in » si tu préfères), tu dis plutôt
« infox » et « fake news », tu auras l'air branché, c'est bon pour l'image), il
peut encore faire illusion un bon moment. Je ne vais pas citer de noms, il y a
des spécialistes du genre, ils se reconnaîtront.
Le Président va parler. La semaine prochaine. Mardi aux dernières
nouvelles. Pas besoin de préparer son texte. Il n'a qu'à lire la presse et suivre
un peu les chaînes d'information en continu pour apprendre ce qu'il va dire,
avant même qu'il l'ait pensé. Ça, c'est de l'info avant-gardiste, nous
renseigner non pas sur ce qui s'est passé, c'est trop classique, un peu
ringard même si on veut être dans le coup, mais sur ce qui va se passer.
C'est le summum du « up to date », l'apogée de carrière pour un journaliste,
annoncer ce qui va se produire avant que ça ne se produise, avoir une
longueur d'avance sur les concurrents ; être le premier sur un « scoop » c'est
bien, précéder l'événement c'est encore mieux, c'est un must, bien sûr il ne
faut pas trop se louper, il passerait vite pour un pas sérieux, encore que, dans
notre époque un peu troublée, entre canulars et fausses rumeurs
(maintenant, si tu veux être à la mode, (« in » si tu préfères), tu dis plutôt
« infox » et « fake news », tu auras l'air branché, c'est bon pour l'image), il
peut encore faire illusion un bon moment. Je ne vais pas citer de noms, il y a
des spécialistes du genre, ils se reconnaîtront. dimanche 22 novembre 2020
samedi 21 novembre 2020
vendredi 20 novembre 2020
jeudi 19 novembre 2020
mercredi 18 novembre 2020
Chronique de Charles : Dimanche dernier
 On vit une époque intéressante, à plus d'un titre, et qui plus est sans
sortir de chez soi (ça tombe bien, avec le confinement ça n'est pas aussi
facile, il y faut le papier qui va bien, la bonne case, la signature, quand je suis
allé en Chine ce n'était pas beaucoup plus compliqué, il n'y avait que la prise
des empreintes digitales en plus) :
On vit une époque intéressante, à plus d'un titre, et qui plus est sans
sortir de chez soi (ça tombe bien, avec le confinement ça n'est pas aussi
facile, il y faut le papier qui va bien, la bonne case, la signature, quand je suis
allé en Chine ce n'était pas beaucoup plus compliqué, il n'y avait que la prise
des empreintes digitales en plus) : mardi 17 novembre 2020
lundi 16 novembre 2020
Chronique de Charles : Pédalage dans la semoule.
 « Ne regarde pas ta roue, regarde loin devant ! » disait mon père. C'est
comme ça que j'ai appris à « faire du vélo ». J'avais moins de dix ans, il
m'avait fallu un vélo, c'était quasiment obligatoire, le collège était un peu trop
loin pour pouvoir y aller à pied, en demi-pensionnaire ça m'économisait un
aller et retour, ça pouvait le faire. Il y avait peu ou pas de transports scolaires
organisés à l'époque, en tout cas pas dans mon coin. Je me souviens encore
de ces conseils paternels judicieux, mais largement insuffisants (pour la vie
en général, de regarder loin devant, c'était un conseil efficace, adapté,
pertinent, j'en ai toujours tenu compte, et bien m'en a pris, merci papa, mais
pour la bicyclette en particulier c'était un peu léger, on avait moins de souci à
l'époque pour la pédagogie, mais on n'apprenait pas plus mal pour autant, je
sais toujours, et n'y ai d'ailleurs pas grand mérite, faire du vélo). Bien plus
tard, j'ai appris à mon tour à mes filles à « faire du vélo » bien plus jeunes
que je ne l'étais à l'époque, en leur tenant la selle sur des trajectoires
chancelantes, après avoir démonté, dès le départ les petites roulettes dites
stabilisatrices qui simplifient la vie des parents, mais qui sont une aberration
sur le plan de l'apprentissage de l'équilibre. Elles ont appris très vite (mes
filles, pas les roulettes !), beaucoup plus vite que moi (je suis sûr, mais sans
certitude absolue toutefois, que cette précocité leur vient du côté de leur
mère). De nos jours, on trouve des dispositifs fort astucieux, fort
ergonomiques qui tiennent la selle sans que l'on ait besoin de se baisser,
c'est beaucoup plus confortable pour la colonne vertébrale. On trouve aussi
maintenant des draisiennes qui favorisent grandement et raccourcissent cet
acquisition de l'équilibre sur deux roues avec leur guidon, reportant à une
phase ultérieure la maîtrise du pédalier. Je pratique désormais moins qu'à
l'époque, par paresse surtout, par prudence peut-être devant les dangers
multiples qui menacent les bicyclettes et ceux qui les chevauchent dans la
circulation routière. Je reste néanmoins pantois d'étonnement devant les
exploits des coureurs cyclistes, professionnels ou non, il y a là
incontestablement de la performance de haut niveau, même si elle peut
apparaître parfois (pas souvent) gangrenée par le soupçon du dopage.
« Ne regarde pas ta roue, regarde loin devant ! » disait mon père. C'est
comme ça que j'ai appris à « faire du vélo ». J'avais moins de dix ans, il
m'avait fallu un vélo, c'était quasiment obligatoire, le collège était un peu trop
loin pour pouvoir y aller à pied, en demi-pensionnaire ça m'économisait un
aller et retour, ça pouvait le faire. Il y avait peu ou pas de transports scolaires
organisés à l'époque, en tout cas pas dans mon coin. Je me souviens encore
de ces conseils paternels judicieux, mais largement insuffisants (pour la vie
en général, de regarder loin devant, c'était un conseil efficace, adapté,
pertinent, j'en ai toujours tenu compte, et bien m'en a pris, merci papa, mais
pour la bicyclette en particulier c'était un peu léger, on avait moins de souci à
l'époque pour la pédagogie, mais on n'apprenait pas plus mal pour autant, je
sais toujours, et n'y ai d'ailleurs pas grand mérite, faire du vélo). Bien plus
tard, j'ai appris à mon tour à mes filles à « faire du vélo » bien plus jeunes
que je ne l'étais à l'époque, en leur tenant la selle sur des trajectoires
chancelantes, après avoir démonté, dès le départ les petites roulettes dites
stabilisatrices qui simplifient la vie des parents, mais qui sont une aberration
sur le plan de l'apprentissage de l'équilibre. Elles ont appris très vite (mes
filles, pas les roulettes !), beaucoup plus vite que moi (je suis sûr, mais sans
certitude absolue toutefois, que cette précocité leur vient du côté de leur
mère). De nos jours, on trouve des dispositifs fort astucieux, fort
ergonomiques qui tiennent la selle sans que l'on ait besoin de se baisser,
c'est beaucoup plus confortable pour la colonne vertébrale. On trouve aussi
maintenant des draisiennes qui favorisent grandement et raccourcissent cet
acquisition de l'équilibre sur deux roues avec leur guidon, reportant à une
phase ultérieure la maîtrise du pédalier. Je pratique désormais moins qu'à
l'époque, par paresse surtout, par prudence peut-être devant les dangers
multiples qui menacent les bicyclettes et ceux qui les chevauchent dans la
circulation routière. Je reste néanmoins pantois d'étonnement devant les
exploits des coureurs cyclistes, professionnels ou non, il y a là
incontestablement de la performance de haut niveau, même si elle peut
apparaître parfois (pas souvent) gangrenée par le soupçon du dopage. samedi 14 novembre 2020
vendredi 13 novembre 2020
jeudi 12 novembre 2020
mardi 10 novembre 2020
lundi 9 novembre 2020
Chronique de Charles : Leçon de vocabulaire
 Je m'en souviens à peine, il y a si longtemps ! Je n'ai même plus idée
du véritable contenu de ces leçons, tout ce que j'en ai retenu, c'est qu'elles
ont existé, j'en revois encore l'annonce à la craie blanche au tableau noir (il
n'est devenu vert qu'un peu plus tard), en belle ronde parfaitement
calligraphiée, avec des pleins et des déliés (et ce n'est pas facile à la craie,
essaie et tu m'en diras des nouvelles, avec la plume et l'encre ça va mieux,
sauf quand un copain malicieux a jeté une boulette de papier buvard dans ton
encrier de porcelaine, et que si tu n'y prends garde, tu risques de faire des
taches malvenues et irrattrapables). Le stylo à bille n'avait pas encore le droit
de séjour à l'école, il n'y a été autorisé qu'un peu plus tard. Et depuis cet
agrément, le Bic Cristal a fait florès. Et, en conséquence annoncée et
prévisible, depuis, les gamins ont, à partir du cours préparatoire et pour la
vie, une écriture de médecin.
Je m'en souviens à peine, il y a si longtemps ! Je n'ai même plus idée
du véritable contenu de ces leçons, tout ce que j'en ai retenu, c'est qu'elles
ont existé, j'en revois encore l'annonce à la craie blanche au tableau noir (il
n'est devenu vert qu'un peu plus tard), en belle ronde parfaitement
calligraphiée, avec des pleins et des déliés (et ce n'est pas facile à la craie,
essaie et tu m'en diras des nouvelles, avec la plume et l'encre ça va mieux,
sauf quand un copain malicieux a jeté une boulette de papier buvard dans ton
encrier de porcelaine, et que si tu n'y prends garde, tu risques de faire des
taches malvenues et irrattrapables). Le stylo à bille n'avait pas encore le droit
de séjour à l'école, il n'y a été autorisé qu'un peu plus tard. Et depuis cet
agrément, le Bic Cristal a fait florès. Et, en conséquence annoncée et
prévisible, depuis, les gamins ont, à partir du cours préparatoire et pour la
vie, une écriture de médecin. dimanche 8 novembre 2020
samedi 7 novembre 2020
vendredi 6 novembre 2020
jeudi 5 novembre 2020
mercredi 4 novembre 2020
mardi 3 novembre 2020
lundi 2 novembre 2020
La chronique de Charles : Apocalypse now ?
 C'est la fin du monde ! C'est ce que l'on comprend généralement quand
on parle d'apocalypse. Renseignements pris, il paraît que non : apparemment
ce serait un texte d'un Jean, qui ne serait peut-être pas le presbytre (pas le
presbyte, à l'époque on ne connaissait pas bien les troubles de
l'accommodation), on en discute encore, et qui parlerait de révélation. On est
un peu loin de la fin du monde, je ne comprends pas tout à la littérature
ésotérique, mais je suis loin d'être le seul. En tout cas, en première
approximation, et même en cherchant bien, aucun éclaircissement ne me
viendra de ce dernier livre du Nouveau Testament. J'essaierai de m'en
consoler.
C'est la fin du monde ! C'est ce que l'on comprend généralement quand
on parle d'apocalypse. Renseignements pris, il paraît que non : apparemment
ce serait un texte d'un Jean, qui ne serait peut-être pas le presbytre (pas le
presbyte, à l'époque on ne connaissait pas bien les troubles de
l'accommodation), on en discute encore, et qui parlerait de révélation. On est
un peu loin de la fin du monde, je ne comprends pas tout à la littérature
ésotérique, mais je suis loin d'être le seul. En tout cas, en première
approximation, et même en cherchant bien, aucun éclaircissement ne me
viendra de ce dernier livre du Nouveau Testament. J'essaierai de m'en
consoler. dimanche 1 novembre 2020
samedi 31 octobre 2020
vendredi 30 octobre 2020
jeudi 29 octobre 2020
mercredi 28 octobre 2020
mardi 27 octobre 2020
L' onglet ARIC affiche uniquement les informations de notre Asso
Le covid nous a amené à publier quotidiennement des articles de divertissement ou de culture.
Il vous suffit de cliquer sur l'onglet ARIC pour les filtrer, et n’obtenir que ce qui est strictement aricien !
lundi 26 octobre 2020
La Chronique de Charles : Couvre-feu
 Mercredi sérieux. Le Président a prévu de parler. Comme d'habitude,
dès le début d'après-midi, les informations hypothétiques circulent bon train,
d'abord au conditionnel, puis de plus en plus affirmées au fur et à mesure que
passent les heures. Avant qu'il ne passe à l'écran, on sait déjà qu'il y aura un
couvre-feu (mais peut-être qu'il n'emploiera pas le mot, il n'avait pas dit
« confinement » à l'époque), les limites de ce dernier en étaient encore
imprécises jusqu'à une heure avant son intervention. Pas de solennité
excessive, interview à l'ambiance sympathique, sur le ton bon enfant, on sent
bien que ça va être dégoulinant de pédagogie pour débiles légers, et ç'a bien
été le cas (définition de pédagogie : science de l'éducation des enfants), et
pourtant nos gouvernants se défendent de nous infantiliser, peut-être qu'on
ne doit pas espérer beaucoup mieux : on a les gouvernants qu'on mérite, on
les a élus.
Mercredi sérieux. Le Président a prévu de parler. Comme d'habitude,
dès le début d'après-midi, les informations hypothétiques circulent bon train,
d'abord au conditionnel, puis de plus en plus affirmées au fur et à mesure que
passent les heures. Avant qu'il ne passe à l'écran, on sait déjà qu'il y aura un
couvre-feu (mais peut-être qu'il n'emploiera pas le mot, il n'avait pas dit
« confinement » à l'époque), les limites de ce dernier en étaient encore
imprécises jusqu'à une heure avant son intervention. Pas de solennité
excessive, interview à l'ambiance sympathique, sur le ton bon enfant, on sent
bien que ça va être dégoulinant de pédagogie pour débiles légers, et ç'a bien
été le cas (définition de pédagogie : science de l'éducation des enfants), et
pourtant nos gouvernants se défendent de nous infantiliser, peut-être qu'on
ne doit pas espérer beaucoup mieux : on a les gouvernants qu'on mérite, on
les a élus. dimanche 25 octobre 2020
REPRISE DE LA RANDONNEE
Le lundi 19 octobre 2020
Nos Ariciens et Ariciennes marcheurs se sont donnés Rdv pour la reprise marche/rando, après un arrêt forcé. (Covid oblige).
Tous heureux de se retrouver pour une randonnée de 10 km dans les environs de Forest-sur-Marque, temps idéal pour marcher, avec notre petit arrêt obligatoire "bonbons" pour reprendre des forces.
Nous attendons tous les randonneurs qui s'ignorent ... ils seront les bienvenus.
Annie ECHEVIN 
samedi 24 octobre 2020
vendredi 23 octobre 2020
jeudi 22 octobre 2020
mercredi 21 octobre 2020
mardi 20 octobre 2020
lundi 19 octobre 2020
La Chronique de Charles : Processus décisionnel
 Qui décide de quoi ? Je suis comme un chien bien élevé : je fais où on
me dit de faire. C'était, il y a fort longtemps le leitmotiv d'une campagne
visant à lutter contre les déjections canines trop nombreuses sur nos trottoirs,
et entre lesquelles il fallait habilement slalomer, le moindre moment de
distraction, de relâchement vous disqualifiant olfactivement, voire plus (la
merde de chien, c'est aussi glissant qu'une peau de banane qui, elle, pue
nettement moins).« Apprenez-leur le caniveau ! » était l'injonction à la mode.
Ça n'a pas trop bien marché avec les chiens (avec les chats non plus
d'ailleurs, les bacs à sable des jardins d'enfants ont été supprimés depuis),
actuellement on essaie à grand-peine d'apprendre à leurs maîtres à
ramasser, apparemment, ce n'est pas gagné non plus, et ce n'est pas la
suppression du sac plastique (pollueur pour l'éternité en exagérant un peu) et
son remplacement par un sachet de papier fragile (mais bio) qui va arranger
les choses.
Qui décide de quoi ? Je suis comme un chien bien élevé : je fais où on
me dit de faire. C'était, il y a fort longtemps le leitmotiv d'une campagne
visant à lutter contre les déjections canines trop nombreuses sur nos trottoirs,
et entre lesquelles il fallait habilement slalomer, le moindre moment de
distraction, de relâchement vous disqualifiant olfactivement, voire plus (la
merde de chien, c'est aussi glissant qu'une peau de banane qui, elle, pue
nettement moins).« Apprenez-leur le caniveau ! » était l'injonction à la mode.
Ça n'a pas trop bien marché avec les chiens (avec les chats non plus
d'ailleurs, les bacs à sable des jardins d'enfants ont été supprimés depuis),
actuellement on essaie à grand-peine d'apprendre à leurs maîtres à
ramasser, apparemment, ce n'est pas gagné non plus, et ce n'est pas la
suppression du sac plastique (pollueur pour l'éternité en exagérant un peu) et
son remplacement par un sachet de papier fragile (mais bio) qui va arranger
les choses. dimanche 18 octobre 2020
samedi 17 octobre 2020
vendredi 16 octobre 2020
jeudi 15 octobre 2020
Le Bourgeois gentilhomme avec Michel Serrault | Archive INA - ORTF | 28/12/1968
mercredi 14 octobre 2020
mardi 13 octobre 2020
lundi 12 octobre 2020
La Chronique de Charles : Communiqué Officiel Pandémie
 Premier octobre. Notre Ministre de la Santé devait parler pour faire un
point sur la pandémie, rite devenu désormais hebdomadaire. Comme
d'habitude, pas de suspense, les journalistes mis au courant sous le manteau
par des sources bien informées mais qui, pudiquement, préfèrent rester
discrètes, avaient détaillé les annonces qu'il allait faire, les mesures qu'il allait
prendre (schématiquement, sans entrer dans le détail : rien). Rien, ce n'est
pas beaucoup,
Premier octobre. Notre Ministre de la Santé devait parler pour faire un
point sur la pandémie, rite devenu désormais hebdomadaire. Comme
d'habitude, pas de suspense, les journalistes mis au courant sous le manteau
par des sources bien informées mais qui, pudiquement, préfèrent rester
discrètes, avaient détaillé les annonces qu'il allait faire, les mesures qu'il allait
prendre (schématiquement, sans entrer dans le détail : rien). Rien, ce n'est
pas beaucoup,
dimanche 11 octobre 2020
samedi 10 octobre 2020
vendredi 9 octobre 2020
jeudi 8 octobre 2020
mercredi 7 octobre 2020
mardi 6 octobre 2020
lundi 5 octobre 2020
Notre prochaine petite marche aura lieu jeudi 8 octobre.
Nous vous proposons de visiter les jardins de Septentrion. Rendez-vous habituel arrêt mongy Parc Barbieux à 13h 50 précises pour covoiturage.
La Chronique de Charles, Tests, tests, tests à tout-va.
 Je ne suis pas historien, et ce n'est pas à l'école que j'ai pu apprendre,
enfant, l'histoire récente de mon pays. Pour s'obliger à un sacro-saint et
respectable principe neutralité (il ne fallait pas qu'on puisse confondre
enseignement de l'histoire et éducation politique, aussi bien chez les élèves
que chez les enseignants), les programmes scolaires s'arrêtaient à la guerre
de 70, et encore, dans un flou artistique pudique. C'était, apparemment, trop
frais. Je n'ai appris qu'« ils » nous avaient pris l'Alsace et la Lorraine qu'au
travers des récits familiaux de mes grands parents anciens combattants de la
Der des Der, pas exagérément revanchards, mais surtout patriotes grand
teint.
Je ne suis pas historien, et ce n'est pas à l'école que j'ai pu apprendre,
enfant, l'histoire récente de mon pays. Pour s'obliger à un sacro-saint et
respectable principe neutralité (il ne fallait pas qu'on puisse confondre
enseignement de l'histoire et éducation politique, aussi bien chez les élèves
que chez les enseignants), les programmes scolaires s'arrêtaient à la guerre
de 70, et encore, dans un flou artistique pudique. C'était, apparemment, trop
frais. Je n'ai appris qu'« ils » nous avaient pris l'Alsace et la Lorraine qu'au
travers des récits familiaux de mes grands parents anciens combattants de la
Der des Der, pas exagérément revanchards, mais surtout patriotes grand
teint. dimanche 4 octobre 2020
samedi 3 octobre 2020
vendredi 2 octobre 2020
jeudi 1 octobre 2020
mercredi 30 septembre 2020
Les masques n’ont pas empêché cette PMB (Petite Marche Bavarde)
Entre deux averses, la bonne humeur et le soleil étaient de la partie ce mardi 29 septembre 2020 au parc de Barbieux !
mardi 29 septembre 2020
lundi 28 septembre 2020
Escapade Versailles et Paris
Message de Nadine Vandenabeele :
Bonjour à toutes et à tous,
CROISIEUROPE et NOT’CAR ont décidé de reporter notre sortie (du 12 au 15 novembre) à Versailles et Paris du 9 au 12 mars 2021.
J’en suis désolée.
Si ces dates ne vous conviennent pas, veuillez m'avertir par retour. Sans nouvelle de votre part, je considérerai que vous êtes toujours partants pour cette sortie.
Je suis désolée de ce contretemps, mais je pense qu'il est préférable de reporter ce voyage et de le faire dans de bonnes conditions, beaucoup plus sereines.
Prenez soin de vous et à très bientôt.
Amicalement vôtre.
Nadine Vandenabeele
03 20 04 18 06                            
06 86 06 19 37
nadinevan@wanadoo.fr
La Chronique de Charles, Tenue républicaine
 J'ai passé la majeure partie de ma scolarité du secondaire en blouse
grise. Le Règlement Intérieur le précisait bien, blouse grise pour les garçons,
blouse bleu ciel pour les filles, mais des filles, il n'y en avait pas (ce n'était
pas mixte au départ, les filles sont arrivées plus tard, en seconde
précisément, cette irruption a beaucoup nui à ma déjà modeste puissance de
travail et à mon niveau de concentration, il faut dire qu'on n'avait alors pas
l'habitude de la mixité, et un tel bouleversement des mœurs en pleine
puberté boutonneuse avait de quoi perturber mes fonctions endocrines les
plus primaires). Il faut dire que ce RI était probablement un vieux texte
poussiéreux, retranscrit sans réfléchir au travers des générations, comme il
en existe dans toutes les institutions un peu âgées quand elles n'en font pas
sérieusement le ménage (si vous ne me croyez pas, relisez les statuts et le
RI de votre association, vous vous ferez à coup sûr des remarques du même
ordre). Il y était précisé que les élèves se devaient de faire honneur à la
réputation du Collège en toutes circonstances, d'avoir une tenue et un
comportement corrects dans et aux alentours de l'établissement, ne pas
fumer également aux alentours (pas besoin d'interdire de fumer à l'intérieur,
sacrilège, on n'aurait même pas pensé à le faire. C'est beaucoup plus tard
que ç'a été autorisé pour les plus grands [c'était une erreur, on en est revenu
depuis]). Ce texte obsolète devenu inapplicable n'était donc plus appliqué, et
c'est uniquement par esprit de fronde adolescente que j'ai porté la blouse
grise, pratiquement seul, pour me démarquer comme on le fait souvent à
cet âge-là.
J'ai passé la majeure partie de ma scolarité du secondaire en blouse
grise. Le Règlement Intérieur le précisait bien, blouse grise pour les garçons,
blouse bleu ciel pour les filles, mais des filles, il n'y en avait pas (ce n'était
pas mixte au départ, les filles sont arrivées plus tard, en seconde
précisément, cette irruption a beaucoup nui à ma déjà modeste puissance de
travail et à mon niveau de concentration, il faut dire qu'on n'avait alors pas
l'habitude de la mixité, et un tel bouleversement des mœurs en pleine
puberté boutonneuse avait de quoi perturber mes fonctions endocrines les
plus primaires). Il faut dire que ce RI était probablement un vieux texte
poussiéreux, retranscrit sans réfléchir au travers des générations, comme il
en existe dans toutes les institutions un peu âgées quand elles n'en font pas
sérieusement le ménage (si vous ne me croyez pas, relisez les statuts et le
RI de votre association, vous vous ferez à coup sûr des remarques du même
ordre). Il y était précisé que les élèves se devaient de faire honneur à la
réputation du Collège en toutes circonstances, d'avoir une tenue et un
comportement corrects dans et aux alentours de l'établissement, ne pas
fumer également aux alentours (pas besoin d'interdire de fumer à l'intérieur,
sacrilège, on n'aurait même pas pensé à le faire. C'est beaucoup plus tard
que ç'a été autorisé pour les plus grands [c'était une erreur, on en est revenu
depuis]). Ce texte obsolète devenu inapplicable n'était donc plus appliqué, et
c'est uniquement par esprit de fronde adolescente que j'ai porté la blouse
grise, pratiquement seul, pour me démarquer comme on le fait souvent à
cet âge-là.
dimanche 27 septembre 2020
samedi 26 septembre 2020
vendredi 25 septembre 2020
jeudi 24 septembre 2020
NOS ACTIVITÉS QUI AVAIENT REPRIS, SONT STOPPÉES, AU MOINS POUR 15 JOURS
COMMUNIQUE DE LA VILLE DE HEM
Suite aux annonces de monsieur Olivier VERAN, ministre de la santé lors de son allocution du jeudi 23 septembre, et compte tenu du passage du Nord en zone d’alerte renforcée, la ville de Hem a décidé :
- De fermer les installations culturelles suivantes :- Le Centre Intergénérationnel Maurice Schumann : salles d’activités, le boulodrome
- La salle des fêtes : toutes les salles
- L’Espace Culturel Franchomme
- Les salles de l’équipement Nadine Brasiello
- La salle Dunant
 
Ces mesures s’appliquent à compter de ce lundi 28 septembre pour une durée de 2 semaines donc normalement jusqu’au dimanche 11 octobre.
Nous reviendrons vers vous dès que nous aurons de nouvelles consignes sanitaires de la part du gouvernement ou du préfet.
Nous allons mettre des affiches aux entrées des installations sportives. Nous comptons sur vous pour informer vos adhérents.
mercredi 23 septembre 2020
Reprise des jeux de cartes : belote, rami, tarot
mardi 22 septembre 2020
Chronique de Charles, Repartis pour un tour ?
 La dernière fois, il n'y a pas si longtemps, c'était nouveau, on nous l'a
joué grandiose : le grand branle-bas, tout le monde aux postes de combat,
les nouvelles officielles du front tous les jours hospitalisations, réanimations,
décès, pas les courbes (on n'avait pas le temps de les faire, ou on ne savait
pas, ou on n'y avait pas pensé, ou on ne maîtrisait pas bien leurs couleurs),
c'était le grand jeu, la parade avec toute la troupe, les majorettes devant la
fanfare avec ses cuivres et la grosse caisse, les clowns jongleurs, puis les
fauves en cage, les chevaux empanachés comme pour tirer un corbillard,
enfin les éléphants en théorie qui se tiennent la queue avec la trompe
La dernière fois, il n'y a pas si longtemps, c'était nouveau, on nous l'a
joué grandiose : le grand branle-bas, tout le monde aux postes de combat,
les nouvelles officielles du front tous les jours hospitalisations, réanimations,
décès, pas les courbes (on n'avait pas le temps de les faire, ou on ne savait
pas, ou on n'y avait pas pensé, ou on ne maîtrisait pas bien leurs couleurs),
c'était le grand jeu, la parade avec toute la troupe, les majorettes devant la
fanfare avec ses cuivres et la grosse caisse, les clowns jongleurs, puis les
fauves en cage, les chevaux empanachés comme pour tirer un corbillard,
enfin les éléphants en théorie qui se tiennent la queue avec la trompe
lundi 21 septembre 2020
dimanche 20 septembre 2020
samedi 19 septembre 2020
vendredi 18 septembre 2020
jeudi 17 septembre 2020
mercredi 16 septembre 2020
REUNION INFORMATIQUE DU 15/09/2020
Vous avez un nouvel onglet "ARIC" en 2ème position qui ne vous donne que les articles "ariciens"
A contrario, vous pouvez ne demander qu'un type d'informations. Ici l’onglet "SIGNE CHARLES" regroupe toutes les chroniques de notre ami.
mardi 15 septembre 2020
Chronique de Charles, Temps incertains
 En cette époque troublée et pleine d'incertitudes, j'arrive, probablement
par réelle inconscience (beati pauperes spiritu !), plus qu'en fonction d'une
attitude raisonnée, j'arrive disais-je à sourire de la situation. Je ne devrais
pas, vieux cacochyme que je suis, prendre ainsi à la légère la menace qui
pèse sur moi. Mais quand je vois s'agiter autour de moi les gens qui savent,
les gens qui décident de ma santé et de sa protection, et qui remuent les bras
dans tous les sens pour donner à penser qu'ils s'activent utilement, un peu, il
faut bien le dire, comme des moulins à vent,
En cette époque troublée et pleine d'incertitudes, j'arrive, probablement
par réelle inconscience (beati pauperes spiritu !), plus qu'en fonction d'une
attitude raisonnée, j'arrive disais-je à sourire de la situation. Je ne devrais
pas, vieux cacochyme que je suis, prendre ainsi à la légère la menace qui
pèse sur moi. Mais quand je vois s'agiter autour de moi les gens qui savent,
les gens qui décident de ma santé et de sa protection, et qui remuent les bras
dans tous les sens pour donner à penser qu'ils s'activent utilement, un peu, il
faut bien le dire, comme des moulins à vent,

 














